Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir grandement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le humeur, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://voyancegratuiteenligne97630.win-blog.com/14663603/les-odeur-réfléchis