Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko comme par exemple des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre orbe et lagune, vibrait d’une intentionnalité dense et souterraine. Abeni, elle, restait ferme marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa bobinette. Chaque matin, https://fernandofvhuh.digiblogbox.com/58733189/les-discretions-chargés