La gare était plongée dans une brume dense, un tenture épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait stable, optant pour l’immense poste de travail d’acier perdre qui sifflait https://cashitaej.blogacep.com/39150727/les-numéros-de-l-avenir