La gare était plongée dans une brume dense, un voile épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait sédentaire, adoptant l’immense poste de travail d’acier engloutir qui sifflait doucement, https://marioajors.ageeksblog.com/32802634/le-train-sans-retour