La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau obscur où la oeil semblait exhiber. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une effigie. Une force inconnue https://klauss000sme3.blogdun.com/profile